Out My Window par Gail Albert Halaban

Sentiment d’isolement, vie privée difficile à cacher, proximité anonyme :  des sensations qui sont souvent synonymes de vivre dans une grande ville. Le photographe Gail Albert Halaban met en lumière la promiscuité et les liens sociaux qui se dégagent à travers les vitres des villes du monde entier.

Il y a plus de 10 ans quand Gail Albert voyage à Los Angeles, il est frappé par un sentiment d’isolement, dans une ville congestionnée. Il passe ses nuits d’insomnies à regarder par la fenêtre. Ces coups d’oeil entre voisins lui donne une vision optimiste et l’idée du projet « Out My Window« .

Dans son exploration photographique, l’artiste se réfère à ce que les voisins voient à travers les fenêtre de leurs voisins dans les villes du monde. Les fenêtres représentent une fragile frontière entre le familier et l’inconnu, entre les bruits de la ville et le calme de la vie privée. Avec ces photographies, il présente un portrait de la façon dont une population d’étrangers vivent ensemble, mettant en avant les défis de la création de communautés, les relations et la vie privée.

J’ai personnellement vraiment apprécié sa démarche et son oeil. Découvrez quelques clichés pris à New-York et Paris :

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban

gail-albert-halaban
gail-albert-halaban

 

Pour découvrir l’ensemble du travail du photographe :

Gail Albert Halaban

via

Laisser un commentaire :

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*